Laissez le soin aux vers et autres décomposeurs

Cultiver sans retourner le sol est basé sur la causalité car les mouvements superficiels ont un effet sur la profondeur. Une épaisse couche de déchets organiques se déposera à la surface du sol et le reste de la tâche sera fait par les bactéries, les champignons, les vers de terre et bien d’autres décomposeurs. On ne peut dresser la liste complète, car ils sont trop nombreux. Par leurs allers-retours, ils vont alors répartir les déchets dans la terre de manière homogène, naturelle et sur une couche conséquente. Cette technique nécessite moins d’efforts et offre de nombreux avantages en même temps.
Sachez aussi que les vers de terre sont très actifs, la nuit. Ils arrivent en surface et font mélanger les débris de végétaux au sol. Ils les redistribuent dans les profondeurs grâce à leurs galeries verticales.
Afin de comprendre l’importance des grandes quantités de terre qu’ils absorbent et déchargent après digestion, il faut savoir que sous un hectare et en un an (10?000 m²), de manière générale, 400 tonnes des sols passent par leur voie de digestion.
Par ailleurs, les vers endogés sont de taille moyenne, creusant principalement des galeries dans des canaux horizontaux tout en mangeant un mélange de sols et de matière organique.

Pensez à créer des allées

Il est à noter que vous devez pouvoir vous promener dans le potager. Voilà pourquoi, vous devez bien organiser votre espace de travail. Ainsi, chaque espace végétal est accessible depuis l’allée que vous avez créée. Vous pouvez suivre les blocs de culture directe sur le sol. Il est possible également les divisés avec des bois non traités. Dans le cas où vous prévoyez d’utiliser ces zones pendant une longue période, il est préférable de construire un mur de briques.
Idéalement, la largeur de l’allée est de 60 cm pour qu’on y puisse circuler avec une brouette. Quant à la longueur, veuillez éviter les longues allées pour ne pas perdre votre temps à marcher. Il est préférable de disposer ces allées dans l’orientation de la largeur.

Praticité et gain de temps

Le concept des mosaïques sur filet est très simple. Les fabricants disposent les mosaïques sur des plaques en nylon (par exemple). Ce sont ces dernières que vous achetez et que vous collez au mur. Le nombre de petits carreaux sur une plaque de mosaïques dépend de leurs dimensions et de celles de la plaque. Par exemple, chez Reflex Boutique une plaque fait 31.5×31.5 cm et elle accueille des mosaïques qui mesurent 2,5×2,5 cm chacune. Ce sont des plaques carrées. Le nombre de plaques de mosaïques dont vous avez besoin dépend de la surface du mur ou du sol sur lequel vous comptez poser un revêtement. Les découpes engendrent souvent des pertes. Ces dernières sont réutilisables si vous augmentez de 10 % les mesures de la surface.

Collage facile et rapide

Vous fixez la plaque au mur avec une colle. C’est le même procédé de collage que l’on applique habituellement avec des carreaux classiques. Dans une douche ou sur une piscine, les artisans utilisent généralement de la colle époxy. Ailleurs, ils préfèrent le mortier-colle, peu importe que la surface se trouve en intérieur ou à l’extérieur. Enfin, les artistes optent pour de la colle blanche spécialement conçue pour les mosaïques.

Détails esthétiques

Concernant la norme, privilégiez la Certification CE. En outre, préférez les mosaïques en pâte de verre. Les mosaïques sur filet servent souvent au revêtement des piscines, des murs de la salle de bain et du sol d’une douche italienne (ce sont d’excellents antidérapants). Quel que soit l’usage que vous comptez en faire, optez pour les modèles qui conviennent aux pièces humides ainsi qu’aux planchers chauffants. Choisissez aussi ceux qui sont polyvalents : concrètement, n’importe quel support peut les recevoir, même un ancien carrelage. Le choix de la finition et de la surface de la mosaïque dépend de vos goûts personnels (par exemple : une finition mate couplée à une surface lisse).

Le respect des normes de sécurité, essentiel

S’il fallait donner un exemple d’entreprise de confiance, jetez un coup d’œil sur ce site. Pour le choix du couvreur qui va effectuer les travaux de toiture et de couverture sur votre maison, soyez exigeant. Il y va de la protection de votre maison, de votre personne et des membres de votre famille. Une bonne couverture est synonyme de confort et de bien-être chez vous. Aussi, il est crucial que le couvreur respecte les normes de sécurité, et ce, dans les moindres détails. Cela suppose qu’il les connaît parfaitement et qu’il est au courant des dernières innovations dans le domaine. Tout cela est nécessaire pour garantir des travaux de qualité et pour votre propre sécurité. C’est aussi indispensable pour que votre habitation soit en conformité avec la loi. Pour toutes ces raisons, choisissez un couvreur professionnel. Engager un couvreur à Sainte-Geneviève-des-Bois vous permet d’être rassuré quant à la qualité des travaux.

Quelles normes de sécurité régissent les couvreurs professionnels ?

En premier lieu, un couvreur professionnel est un véritable expert de la toiture. Un couvreur à Sainte-Geneviève-des-Bois est un professionnel qualifié mais aussi passionné par son travail. En second lieu, il entreprend les travaux uniquement après avoir examiné de près votre toiture pour en connaître l’état. Cette étape lui permet de poser un diagnostic sûr et de vous proposer des solutions adaptées. Puis, durant la réalisation du travail proprement dit, il porte un équipement de sécurité complet qui va protéger tout son corps, sa tête, ses mains, etc. Ensuite, il vous garantit des installations performantes et aux normes en optant pour du matériel robuste qui résiste aux intempéries et au temps. Il privilégie le matériel portant le label NF. La pose est régie par le DTU toiture ou des DTU spécifiques, des règles qui encadrent cette tâche. Pour la couverture, ses éléments doivent aussi porter la mention NF.

1. Privilégier les plantes vivaces

Les plantes vivaces sont, comme leur nom l’indique, des plantes à fleurs qui fleurissent tout au long de l’année. En général, leur durée de vie est de trois ans, mais selon le climat, la situation géographique, les soins apportés et la fréquence d’entretien, elles peuvent survivre plus longtemps. Ce sont les meilleurs choix si vous voulez rendre votre jardin plus beau avec l’âge.

En plus, vous pouvez toujours adopter de nouvelles techniques et ainsi profiter de plusieurs possibilités de croissance. Choisir les bonnes plantes et les faire pousser année après année est ce qui rend le jardinage des plantes vivaces si agréable. En voici quelques-unes : les tulipes, l’hortensia, l’hibiscus, la lavande et le cœur saignant.

2. Opter pour des fleurs annuelles

Les plantes fleuries annuelles font partie des différentes catégories de fleurs. Ce sont des plantes qui accomplissent leur cycle de vie en une année. Plus clairement, les fleurs annuelles passent de la graine à la fleur et reviennent à la graine. Elles ne survivent que le temps d’une saison.

Notez que la plupart du temps, les fleurs annuelles se sèment toutes seules, puis produisent de belles plantes année après année. Les experts horticoles les appellent alors « des volontaires ». La culture de fleurs annuelles vous permet de profiter d’un jardin fleuri toute la saison.

Ces plantes extérieures sont aussi très appréciées pour leurs conteneurs et leur polyvalence. En effet, elles s’adaptent à tous les types de jardins. On peut citer le tournesol, les pétunias, le cosmos, le géranium.

3. Se tourner vers les fleurs bisannuelles

Ensuite, il y a les fleurs bisannuelles. Leur nom suggère que ces plantes vivent pendant deux ans et connaissent deux saisons de croissance pendant ce cycle de vie. La première année est axée sur la production de nourriture et sur la production. Pendant cette première saison, les racines se renforcent. Ce n’est que l’année suivant qu’elles commencent à fleurir et à s’épanouir.

Après cette période, elles montent en graines pour que le processus puisse recommencer. Ces fleurs bisannuelles attirent facilement le regard grâce à leur beauté. Il y a la giroflée, la cloche de Canterbury, le coquelicot, la digitale pourpre, la Suzanne aux yeux noirs, le stock, etc.

4. Rien de mieux que des roses

Les gens pensent que les roses sont difficiles à cultiver. Pourtant, ce n’est pas du tout le cas. La plupart des rosiers peuvent s’épanouir dans presque tous les types de jardins. Ce sont les plantes extérieures idéales pour profiter d’un beau jardin fleuri. Le secret pour réussir à planter un rosier, c’est de choisir des variétés qui n’ont aucun mal à s’épanouir dans votre région.

Un bon entretien vous aidera également dans votre démarche. N’hésitez pas à vous renseigner sur les méthodes et le moment de taillage pour que vos plantes puissent rester en bonne santé et produire des fleurs abondantes. Pour que vos rosiers puissent s’épanouir, mettez-les à l’abri des conditions climatiques difficiles.

5. Ajouter des arbustes et des arbres à fleurs

Pour donner à votre jardin une bonne ossature et une bonne architecture, vous pouvez aussi ajouter des arbustes, des arbres et des plantes grimpantes. Il existe aujourd’hui de nombreuses variétés qui fleurissent. Avec les bons arbustes comme le cornouiller et l’hortensia, vous pouvez facilement attirer les papillons et les oiseaux.

A leur tour, ils contribueront à la pollinisation et à l’ensemencement de vos plantes en améliorant ainsi la santé globale de votre jardin. Puis, il y a aussi les plantes couvre-sol qui pourront border ou tapisser votre jardin. Elles pourront vous servir de guide le long d’un chemin. Vous pouvez tout à fait les combiner pour avoir un jardin mixte qui sera beau à voir toute l’année.

Bref, pour profiter d’un jardin fleuri toute l’année, il est important de bien choisir vos plantes d’extérieur. N’hésitez pas à mélanger les textures et les couleurs pour que l’ensemble soit encore plus attrayant.

Quelles réalisations pour votre terrasse ?

Quel est le genre de terrasse que vous avez ? Est-elle sur toit ou bordant une piscine ou donne-t-elle sur une belle pelouse ? En tout cas, quelle que soit la taille et la forme de votre terrasse, vous pouvez l’aménager de mille et une manières. Une fois qu’elle est bien agencée et décorée, vous aurez envie d’y passer plus de temps, de vous y prélasser pour du farniente ou pour apprécier la vue. Pour une terrasse chaleureuse, rien de tel qu’un revêtement à la chaux ocre, beaucoup de textiles et des plantes. Pas besoin d’un mobilier haut de gamme, des fauteuils et un sofa DIY fera très bien l’affaire. Si vous aimez l’ambiance bohème, installez plutôt des meubles et des objets en fibres naturelles.

Faites de votre terrasse une pièce à vivre

Transformez votre terrasse en une pièce à vivre à part entière. Par exemple, faites-en une salle à manger d’été le temps d’une saison. Posez-y des vases sur des étagères, accrochez des miroirs aux murs et des suspensions aux plafonds. Ou bien faites-en un deuxième salon où recevoir amis et invités. Misez sur le blanc pour donner à votre terrasse des airs de vacances, aussi bien pour les textiles que pour les coussins. Un simple tapis en matières naturelles viendra parfaire l’ensemble. Donnez un style encore plus naturel à cet espace en adoptant un revêtement en bois pour le sol et même pour les murs.

Comment désherber son jardin ?

Faire l’entretien de son jardin procure du plaisir, surtout si vous avez de belles plantes et de jolies fleurs. C’est plus plaisant encore quand vous le faites avec un outillage de jardin complet. Pour désherber, les outils de base sont le sarcloir ou grattoir et la binette ou désherbeur manuel. Vous pouvez vous procurer un désherbeur manuel ou électrique à brosse. L’utilisation d’un désherbeur manuel est conseillé, car elle est moins polluante. Vous pouvez opter pour des kits d’outils pour faire votre potager au naturel.

Le kit peut être composé de sécateurs, de ciseaux, de bêches et pelles et autres outils. Plus innovant encore, le souffleur thermique, le nouveau kit pour se débarrasser des feuilles et des débris dans votre jardin débarque sur le marché. C’est un outil incontournable pour nettoyer rapidement et facilement les feuilles mortes. Suivez le lien souffleur-thermique.net pour avoir plus de détails sur cet outil aussi pratique que tendance.

Les critères pour choisir le meilleur souffleur thermique

Comme tous les autres outils à main ou à moteur de qualité, le souffleur thermique de marque est de loin le meilleur. Il faut choisir également un outil puissant pour obtenir rapidement un bon résultat. Vérifiez la force de soufflage de votre souffleur thermique, le débit par heure et la vitesse de l’air en mètre par seconde. La force de soufflage d’un souffleur thermique performant est de plus de 20 N. Le débit d’un meilleur souffleur thermique peut aller jusqu’à plus de 2 000 m³/h et la vitesse à 80 m/s.

Choisissez la puissance de l’outil en fonction de la surface et l’aspect de votre jardin. La cylindrée peut être de 25 à 75 cm3 et la puissance de 750 à 3000 W. Si vous êtes un professionnel dans le monde du jardinage, la cylindrée de 75 cm3 est celle qui vous convient. Pour un particulier, un souffleur avec une puissance de 25 à 50 cm3 peut suffire. Le prix peut aussi être un critère de choix. Il est usuel de faire une comparaison des prix ou de vérifier le rapport qualité/prix avant d’en acquérir un.

Les avantages de l’utilisation d’un souffleur thermique

Le grand avantage d’un souffleur thermique est la mobilité. Contrairement à un souffleur électrique, celui-là n’est pas pourvu de cordon ou de fil d’alimentation, lequel va limiter le rayon d’action. Avec le souffleur thermique, plus particulièrement le souffleur thermique à dos facile à transporter, le déplacement ne pose aucun problème. Vous pouvez atteindre tous les recoins du jardin et vous faufiler entre les arbres. Le souffleur thermique est à la fois pratique et avantageux. À part le confort et le gain de temps que procure l’outil, vous avez un avantage économique, car son moteur ne consomme que peu d’essence.

Un logement neuf à zéro énergie est parmi les dernières tendances pour les habitations économiques et écologiques. Ce modèle de maison est en même temps autonome et confortable.

Tout cela s’explique par l’utilisation des énergies renouvelables qui leur procurent de l’énergie gratuitement et diminuent leur impact sur l’environnement.

Ces sources d’énergie ne dégagent en effet presque pas de CO2 ni de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

Le concept d’une maison zéro énergie

La particularité d’une maison zéro énergie, c’est son autonomie. A la différence d’une maison passive ou d’une maison à basse énergie, celle-ci produit sa propre énergie pour subvenir aux besoins de ses habitants.

Mais cette autonomie ne vient pas seulement de la maison, elle se reflète également sur le comportement de ses résidents. Si vous avez une maison zéro énergie, vous devez adopter des habitudes plus responsables pour que les besoins en énergie diminuent au maximum. A mesure que vos besoins diminuent, un minimum de production vous suffira.

Pour consommer le minimum d’électricité, vous devez par exemple éteindre complètement tous les appareils et ne pas les laisser en veille. Les chargeurs doivent également être débranchés et les lumières éteintes lorsqu’une pièce est inoccupée.

Il est aussi recommandé de privilégier les ampoules à économie d’énergie ainsi que les appareils à faible consommation d’énergie. Par ailleurs, vous devez opter pour l’option de lavage à basse température lorsque vous lavez votre linge.

Pour économiser de l’eau, privilégiez la douche à la place du bain. Les robinets et les pommeaux doivent être équipés d’un économiseur d’eau.

Vos toilettes doivent aussi être équipées d’une chasse à double débit. A part ces gestes, vous devez régulièrement effectuer des contrôles afin de repérer les fuites.

Après l’autonomie et la consommation d’énergie maitrisée, une maison zéro énergie est réputée pour ses propriétés écologiques. Etant donné que son fonctionnement ne dépend pas des énergies fossiles, la quantité de CO2 et de gaz à effet de serre qu’elle dégage est quasiment nulle.

Les différents types d’installation pour la production de l’électricité

Une maison zéro énergie a l’avantage de produire elle-même l’énergie dont elle a besoin pour fonctionner. Nous pouvons relever trois types d’installation pour la production de l’électricité.

D’abord, l’électricité est produite par l’intermédiaire du vent avec l’éolienne domestique. Cependant, la quantité de production varie selon la force du vent et la taille des pales. Sachez qu’une installation entre 8 kW à 30 kW peut produire entre 10 000 et 50 000 kWh d’électricité dans une année.

Il y a ensuite les panneaux solaires qui exploitent les rayonnements du soleil en transformant les photons en électricité. Lorsqu’un panneau est bien orienté, un mètre carré de celui-ci peut produire environ 100 kWh en une année.

En optant pour une chaudière à microcogénération, vous aurez en même temps de l’électricité et de la chaleur.

L’autonomie dans la production de chauffage

Il est tout à fait possible qu’une maison zéro énergie est autonome en chauffage. Mais cela ne sera possible que si son isolation est parfaitement performante. Le sol, les murs, le toit et toutes les ouvertures ne doivent présenter aucuns ponts thermiques.

Si vous avez un projet de construire une maison zéro énergie, vous devez vous concentrer sur les caractéristiques d’une maison bioclimatique passive. Celle-ci garantit une température confortable avec une très faible consommation en énergie.

Pour une maison neuve, il existe plusieurs moyens de produire de la chaleur. En optant pour le chauffage solaire passif, ce sera l’énergie lumineuse du soleil qui sera consommée.

En pénétrant dans la maison, les murs, le plancher et les meubles vont l’absorber. Lorsqu’elle sera libérée, elle prendra la forme d’une chaleur.

Vous pouvez aussi avoir un plancher chauffant grâce à l’énergie solaire. Dans ce cas, le réseau d’alimentation du plancher chauffant sera alimenté par des capteurs qui seront placés sur le toit. Il est également possible d’employer des panneaux solaires ou des tuiles photovoltaïques.

Le poêle à bois est très plébiscité dans une maison zéro énergie. L’habitation se chauffe grâce au bois qui est consumé dans le foyer.

L’approvisionnement en eau

A ce jour, tous les logements doivent être raccordés au réseau d’eau national. Mais dans une maison zéro énergie, vous n’êtes pas obligé de dépendre de cet approvisionnement pour tous vos besoins en eau.

Vous pouvez être semi-autonome. Cela pourra se faire en récupérant l’eau de pluie. Cette dernière peut vous servir pour l’arrosage, pour les WC ou pour la machine à laver.

Pour mettre en œuvre cette technique, vous pouvez installer une cuve de récupération qui sera équipée d’un filtre. Après, votre eau chaude sanitaire pourra être chauffée par l’intermédiaire d’un chauffe-eau solaire thermique.

Le permis de construire

Avant d’entamer la construction, on doit se renseigner sur la réglementation en abri de jardin. Il y a des démarches à accomplir pour obtenir un permis. Il est possible qu’il y ait des règles d’urbanisme à respecter. Demandez des informations auprès de la mairie avant de commencer. Il n’y a aucune formalité à suivre si l’abri de jardin est moins de 5 m². Il faut une déclaration de travaux pour une surface inférieure à 20 m². Et un permis de construire est indispensable pour un abri de plus de 20 m².

Le nivelage du terrain

Avant toute construction, préparez le terrain. Il faut niveler le sol pour qu’il accueille la cabane. Il faut délimiter l’emplacement de l’abri avec des piliers en bois. Ces piquets sont fixés avec une corde. Il faut bien nettoyer la zone. Il est nécessaire de mettre en niveau la terre. Vous pouvez rouler dessus avec un motoculteur et un rouleau à aplanir.

Les sortes d’abris de jardin

Voici quelques cabanes que vous pouvez fabriquer dans votre jardin :

Pour un abri de jardin en bois

Pour commencer, construisez des fondations sous les murs. Fabriquez une dalle en béton. Fixez solidement le bardage en bois. Montez la structure de la charpente sur le toit. Vous pouvez ensuite mettre la toiture et les murs.

Pour un abri de jardin en tôle

Comme d’habitude, il faut préparer la fondation. Construisez la structure de l’abri et la charpente. Posez les plaques de tôle sur la toiture.

Pour un abri de jardin en parpaing

Vous devez entamer la construction de la dalle de béton. Fixez ensuite les murs en parpaing. Montez délicatement les pignons. Posez la charpente, puis installez la couverture pour terminer.

Les études à réaliser avant de se lancer

Quel que soit le projet que vous réalisez, les études et la planification sont le fondement d’une réussite. Il faut déterminer son budget. Le coût de la rénovation se définit par le besoin du propriétaire et les modifications à refaire. L’important est de définir le budget que vous disposez, et les travaux que l’on peut réaliser. Cela ne signifie pas que l’on ne peut faire réaliser de bons travaux. Il est aussi possible de faire une rénovation en plusieurs étapes. Vous devez bien étudier l’ordre des travaux. Pour faire quelques économies, vous pouvez lancer les travaux de rénovation tout seul. Mais pour garantir la sécurité, il est préférable de faire appel à une entreprise de rénovation. Pour trouver un intervenant de qualité, le bouche-à-oreille s’avère bénéfique.

Les étapes de rénovation

Pour la rénovation d’un appartement ou d’une maison, il est important de respecter les étapes du travail. Pour une rénovation complète, on doit d’abord lister les travaux à réaliser. Il faut faire le tour de l’appartement et noter tous les travaux nécessaires à réaliser. Il est nécessaire de faire une vérification de toutes les installations, telles que l’électricité, la plomberie afin d’assurer leur conformité. Une fois sur le terrain, la première étape débute par les travaux de démolition. De ce fait, vous risquez déranger vos voisins, car les travaux sont salissants et bruyants. Il faut donc les avertir. La démolition est suivie par les travaux d’installation et les gros œuvres. Pour finir, l’isolation et les revêtements de la maison. Ces travaux peuvent coûter cher, il est conseillé de faire appel à des aides financières.

S’occuper des plantes

Pour bien entretenir votre jardin, vous devez d’abord vous occuper de ce qu’il y a dedans. Ce sont les plantes et les végétaux qui occupent la plus grande place dans le jardin. C’est eux qui vont s’assurer d’apporter de l’éclat dans votre jardin. Vous devez donc en prendre soin. Pour ce faire, vous devez premièrement arroser constamment vos plantes sans en abuser. Il vous faut les bons outils. Vous devez tailler vos plantes. Vous devez arracher les mauvaises herbes et les insectes qui nuisent à vos plantes. Utilisez de bons engrais pour vos plantes. Optez pour les engrais naturels et non pour les engrais chimiques. Les engrais chimiques ont des effets secondaires sur vos plantes. Ils peuvent aussi impacter les fruits et légumes qui en résultent.

S’adresser à des professionnels

S’occuper d’un jardin est une tâche assez complexe, surtout si vous n’y connaissez pas grand-chose. Cela vous demande beaucoup d’efforts et de temps. Si vous vous chargez vous-même de l’entretien de votre jardin, vous allez avoir un grand travail à faire. Si vous ne disposez pas des aptitudes nécessaires pour cette responsabilité, ne vous forcez pas. Vous risquez de causer certains dégâts si vous faites les choses de travers. Ainsi, la meilleure solution pour vous est de vous adresser à des professionnels. Dans ce cas, vous vous dispensez des plus grands travaux de jardinage. Ces professionnels vont s’occuper de vos plantes et de vos arbres. Ils vont s’assurer de bien faire les travaux d’élagage et les autres tâches. De plus, ils vous conseilleront sur ce qu’il faudra faire pour prendre soin des éléments de votre jardin.